Bangkok est une ville à faire. Pleine de richesses et de contradictions, elle ne dort jamais. Dans cette fourmilière géante qui donne l’impression d’un vaste merdier, chacun à sa place. Comme beaucoup de grande capitale elle reste assez asphyxiante (renforcé par le fait qu’il fasse environ 35°).

Bangkok est une ville étonnante, où il est inutile de chercher à comprendre le « pourquoi du comment », ici on vit au jour le jour (et c’est aussi bien!).

Evidemment il faut se faire à l’idée qu’en temps qu’Européen nous sommes vus comme des porte-monnaies ambulants; les première fois on fait l’effort de discuter avec Tuk-tuks, tailleurs sur mesure et autre rabatteurs, puis on apprend à faire semblant d’ignorer (pas encore tout à fait au point d’ailleurs). En vaquant nez en l’air dans plusieurs quartiers (Phaurat, Khaosan, Chinatown…), nous avons aussi été surpris par la gentillesse de Thaïlandais qui nous ont donné notre chemin, et nous ont expliqué leur culture…

Passé l’étonnement des premières heures, Bangkok reste une ville ou tout semble se passer dans la rue (nourriture, sport, Taï-chi, massages…).
Pour des amoureux que nous sommes des bonnes choses de la vie, la nourriture (et oui c’est important) est délicieuse et, sans trop nous enflammer, nous testons chaque jour un peu plus la richesse de la cuisine Thaï.

La religion y est très présente et nous avons pu visiter plusieurs grands temples de la ville (Wat Pho, Wat Arun…).

Attention également au respect du Roi, qui nous a conduit à une première infraction (non voulue évidemment, qui nous a juste value un coup de sifflet) pour ne pas nous être arrêté au moment où retentissait l’hymne en son honneur (oui oui, TOUT LE MONDE s’arrête, debout, en silence, deux fois par jour pour saluer le Roi).

Demain nous reprenons la route et quittons Bangkok.